« A partir du concile de Nicée (325)
l’église prit l’habitude de se constituer en
tribunal pour juger et condamner les hérétiques et
attribuer à ses jugements une autorité qui n’appartient
qu’à la Parole de Dieu.
Au lieu de maintenir les Saintes Ecritures
comme autorité
souveraine en matière de foi, elle composa des confessions
de foi, appelées symboles, qui n’étaient
pas toujours un résumé fidèle de la doctrine
évangélique et apostolique…
Les confessions
de foi étaient imposées aux fidèles.» Martin Luther,
Catéchisme, édition française, 1994,
page 91
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